Souffre de ne jamais connaître l’âge
Des yeux paisibles qui te cotoîent
Ne jugeant pas l’enfant en toi
N’y voyant guère qu’un héritage
Subît l’amour et la tristesse
De n’être un sourir inéphémère
Dans le regard de cette terre
Qui dans tes sens se fait déesse
Happe les odeurs et les senteurs
Ouvre toi grand dans ce désir
Laisse toi tenter par l’élixir
Mais finis traitre en ces demeures